Le plus important n’est pas ce que vous avez accompli, mais ce que vous ressentez après l’avoir accompli.
Imaginons que vous fassiez des pompes. En vous focalisant sur ce que vous avez accompli, vous serez déçu de n’en avoir fait que quelques-unes alors que d’autres en font des dizaines. Pourtant, en vous focalisant sur ce que vous ressentez, vous remarquerez que grâce à ces quelques pompes, vous vous sentez mieux que si vous n’aviez rien fait.
Plutôt que de vous focaliser sur les résultats, et surtout de les comparer à ceux des autres, vous feriez mieux de rester concentré sur vous-même, et d’apprendre à différencier les activités qui vous nourrissent de celles qui vous nuisent.
Si une activité vous nourrit, accordez-lui davantage de temps et d’attention.
Quant à celles qui vous nuisent, éliminez-les de votre vie, ou si c’est impossible, faites en sorte de les rendre plus nourrissante — il suffit souvent pour cela de changer le sens qu’on leur donne.