fbpx

Vous n'êtes pas abonné ?

Rejoignez les dizaines de milliers de personnes qui reçoivent régulièrement mes conseils, idées et réflexions pour améliorer leurs photos, devenir de meilleurs créatifs, mener à bien leurs projets, vivre de leur passion, augmenter leur influence, s'épanouir dans leur pratique et vivre une vie meilleure.

En vous inscrivant, vous recevrez ma newsletter (Summum Humanum), ainsi qu’un accès à ma communauté privée (Un Coin À Nous). Les deux sont gratuits. Votre adresse email est en sécurité et vous pouvez vous désinscrire en un clic.

Il y a une grande différence entre être pauvre et être fauché.

Être fauché, c’est temporaire. Vous n’avez pas d’argent, mais vous savez que ce n’est pas définitif.

Être pauvre, c’est un état d’esprit. Si vous n’avez pas d’argent mais ne faites rien pour que ça change, si vous dépensez votre argent plutôt que de l’investir — dans des projets, dans votre éducation, etc. —, si vous comptez sur quelqu’un d’autre que vous pour que votre situation change — l’état, votre patron, un héritage, gagner au loto, la chance, votre horoscope ou autre — vous êtes pauvre et le resterez probablement toute votre vie.

Être fauché vous permet de construire votre avenir. Être pauvre détruit votre avenir. Et la différence se joue dans votre tête.

Vous devez accepter d’être fauché — et même le chercher — mais éviter à tout prix de devenir pauvre.

ABONNEZ-VOUS À MA NEWSLETTER

Rejoignez les 20 000+ lecteurs qui reçoivent gratuitement mes conseils par email :

Faire temporairement une croix sur votre confort ne va pas vous tuer. C’est même facilement supportable si vous avez une vision pour votre avenir. Si vous savez pourquoi vous le faites.

Au début de sa carrière, dans les années 1900, Picasso savait que pour devenir l’artiste qu’il rêvait de devenir il devait s’installer à Paris. Dès qu’il le pouvait, il quittait l’Espagne pour rejoindre la capitale française. Il y était hébergé par des amis, dormait souvent dans des ateliers d’artistes, et rentrait en Espagne quand il n’arrivait plus à se nourrir correctement. Mais à chaque fois, dès qu’il le pouvait, il remontait à Paris pour tenter à nouveau sa chance.

Pendant cette période — sa période bleue — ses thèmes préférés étaient la mort, la vieillesse et la pauvreté. Ce n’est pas pour rien. Cette période était difficile. Mais Picasso a pris des risques. Il a su sacrifier son confort à court terme pour réaliser son rêve à long terme.

Regardez-vous.

Si vous avez un boulot que vous détestez, des rêves et des projets plein la tête, mais que vous vivez dans quelque chose de plus grand qu’un studio et pouvez acheter autre chose que des patates pour vous nourrir, vous n’avez aucune excuse.

Acceptez d’être fauché. Acceptez de vivre temporairement dans l’inconfort. Investissez dans votre avenir. Faites ce qu’il faut pour que vos rêves deviennent réalité.

Vous avez le potentiel pour y arriver. Tout ce qu’il vous manque, c’est la volonté.

Si vous ne faites rien, un jour ou l’autre vous le regretterez — et au fond de vous, vous le savez très bien.

Vous êtes motivé et voulez réussir ?

Recevez régulièrement dans votre boite mail des conseils, des idées et des réflexions pour améliorer vos photos, devenir de meilleurs créatifs, vous épanouir dans votre pratique, vivre de votre passion et profiter d’une vie meilleure.

En vous inscrivant, vous recevrez ma newsletter (Summum Humanum), ainsi qu’un accès à ma communauté privée (Un Coin À Nous). Les deux sont gratuits. Votre adresse email est en sécurité et vous pouvez vous désinscrire en un clic.