fbpx

Vous n'êtes pas abonné ?

Rejoignez les dizaines de milliers de personnes qui reçoivent régulièrement mes conseils, idées et réflexions pour améliorer leurs photos, devenir de meilleurs créatifs, mener à bien leurs projets, vivre de leur passion, augmenter leur influence, s'épanouir dans leur pratique et vivre une vie meilleure.

En vous inscrivant, vous recevrez ma newsletter (Summum Humanum), ainsi qu’un accès à ma communauté privée (Un Coin À Nous). Les deux sont gratuits. Votre adresse email est en sécurité et vous pouvez vous désinscrire en un clic.

Dans mon dernier article, je vous ai proposé un exercice conçu pour entrainer et libérer votre intuition.

Votre mission était simple : vous balader en étant attentif aux mouvements de vos yeux, et dès qu’ils se fixaient sur quelque chose, déclencher en moins de trois secondes.

Si vous avez fait cet exercice, vous avez dû vous rendre compte que déclencher en moins de trois secondes, c’était plus facile à dire qu’à faire !

Déjà, il vous a probablement fallu faire des efforts pour « lâcher-prise », c’est-à-dire accepter de déclencher en moins de trois secondes, sans passer autant de temps que d’habitude à réfléchir à vos réglages, à votre composition, etc.

Il vous a également fallu accepter les imperfections — inévitables lorsqu’on déclenche en moins de trois secondes —, voire le risque de totalement rater vos photos.

ABONNEZ-VOUS À MA NEWSLETTER

Rejoignez les 20 000+ lecteurs qui reçoivent gratuitement mes conseils par email :

Vous avez peut-être aussi rencontré des problèmes techniques.

Selon les sujets, la lumière que vous aviez, ou le rendu que vous vouliez obtenir, déclencher en moins de trois secondes est difficile.

Enfin, vous avez peut-être été confronté à de véritables blocages : l’impossibilité, par exemple, de prendre en photo certaines scènes ou certaines personnes, parce que vous n’avez pas osé, ou que « ça ne se fait pas », ou que c’est interdit, ou je ne sais quoi d’autre — alors que ces moments étaient intéressants.

Bref, capturer les instants décisifs, ce n’est pas facile du tout, et cet exercice était là pour vous le faire toucher du doigt.

Mais ce que vous avez également dû constater, c’est que cet exercice, bien que difficile, voire impossible dans certaines situations, était aussi une sorte de libération dans beaucoup d’autres situations :

  • Plus besoin de vous soucier de vos réglages et de votre appareil photo,
  • Une pratique beaucoup plus fluide et naturelle
  • Des déclenchements sans vous prendre la tête — comme si vous jouiez
  • Des actions prises sur le vif
  • Des photos qui, du coup, deviennent plus vivantes et intéressantes,
  • Et une impression de retrouver une photographie que vous aviez un peu perdue — comme une impression de profiter de la vie plus intensément.

La solution est-elle de repasser en mode automatique ?

Lorsque vous réglez votre appareil photo « normalement », vous accordez trop d’importance à la technique et pas suffisamment à votre intuition, et c’est la cause de la plupart de vos problèmes sur le terrain.

Toujours vous poser des questions à propos de vos réglages ou de votre composition, et passer trois minutes à régler votre appareil à chaque photo, ça ne fonctionne pas — à moins que vous soyez dans un studio ou dans un environnement parfaitement contrôlé.

Dans la vie de tous les jours, en voyage, en photo de rue, lorsque vous êtes en famille ou avec des amis, vous ne pouvez pas — et ne devez surtout pas essayer de tout contrôler !

À la limite, il vaudrait mieux repasser en mode automatique — au moins, vous seriez capable de déclencher en moins de trois secondes, et obtiendriez ainsi des photos plus naturelles et spontanées.

De plus, en mode auto, libéré des considérations techniques, vous retrouveriez votre œil pour voir les choses autour de vous.

C’est ce que j’ai voulu vous faire toucher du doigt avec l’exercice que je vous ai proposé hier. Mais le problème du mode automatique, c’est que vous perdez tout contrôle sur le rendu de vos photos.

Votre appareil décide des réglages, et vous perdez tout contrôle créatif.

Ça ne fonctionne donc pas non plus.

Mais, si les réglages classiques ne fonctionnent pas, et le mode automatique non plus, que pouvez-vous faire ?

La vraie solution ? Avoir des enfants !

Quel est le rapport entre avoir des enfants et améliorer ses photos ? Vous allez comprendre…

Avant d’avoir des enfants, je pouvais passer trois minutes à régler mon appareil, travailler ma composition, déclencher en m’appliquant, pour obtenir une photo techniquement parfaite.

C’est ce que je faisais, et aussi ce que j’enseignais à mes élèves.

J’apprends la photographie, J’apprends à composer mes photos, La Pose Longue…

Tous les livres que j’ai publiés à l’époque étaient axés sur la technique.

Mais, quand j’ai eu des enfants, j’ai été forcé de changer.

Quand je visitais une ville, par exemple, si je m’arrêtais plus de quelques secondes pour prendre une photo, les enfants se mettaient à pleurer dans la poussette.

Je devais redémarrer aussi sec, pour ne pas passer pour un père indigne et égoïste — si vous avez des enfants, vous savez ce que c’est.

Et lorsque la rue était en pente, je ne pouvais pas lâcher la poussette, vous imaginez bien !

Je n’avais qu’une seule main de libre pour manier mon appareil et il fallait aller vite…

Tout l’inverse de ce que je faisais et enseignais !

Mais plutôt que de me résigner et de ranger mon appareil photo, j’ai vu ce problème comme une opportunité de faire évoluer ma pratique.

Les grands photographes ne prennent pas des photos — ils dansent !

J’ai alors commencé à étudier les grands photographes de rue — Garry Winogrand, Joel Meyerowitz, Daido Moriyama, Saul Leiter, Henri Cartier-Bresson, etc.

J’ai passé des mois à regarder des vidéos, lire des livres et étudier ce qu’ils faisaient.

Leurs images, mais surtout leur façon d’agir sur le terrain.

Et je me suis aperçu que leur pratique, leur attitude, était totalement différente de la mienne.

Lorsqu’ils voyaient un sujet, ils étaient capables de déclencher en moins de trois secondes.

La plupart du temps, ils ne touchaient à aucun de leurs réglages avant de déclencher.

Mieux : ils ne regardaient même pas leur appareil.

Les yeux rivés sur leurs sujets, ils ne lâchaient pas leur cible une seule seconde.

Un peu comme si leur appareil était devenu une extension de leur bras.

Et plus je les regardais, plus je m’apercevais d’une chose incroyable :

Je n’avais pas l’impression qu’ils prenaient des photos ; j’avais l’impression qu’ils dansaient dans la rue.

Ils se déplaçaient avec une telle fluidité, déclenchaient d’une manière tellement naturelle, sans jamais faire de pose ou marquer un stop… On aurait dit de la magie, et c’était magnifique à voir.

Moi qui faisais tout dans les règles de l’art — régler mon appareil, m’arrêter, bien stabiliser l’appareil pour éviter le flou de bougé, cadrer précisément en réfléchissant à ma composition, etc. — et d’une manière tellement carrée et appliquée, j’étais émerveillé de les voir faire.

J’ai mis au point un système qui a tout changé : ma pratique, mes photos et les résultats que j’obtenais !

Stupéfait de ces découvertes, j’ai passé des mois à réfléchir à ce problème, faire des tests sur le terrain, essayé de nouvelles techniques.

Jusqu’à ce qu’un beau jour, je découvre un système qui a tout changé dans ma pratique.

Un système qui me permettait de déclencher en moins de trois secondes, dans toutes les situations que je rencontrais, tout en conservant le contrôle créatif des images que je réalisais.

En clair, j’ai inventé un système qui me permet de profiter des avantages des deux mondes :

La rapidité et la simplicité du mode automatique,

Et le contrôle créatif ainsi que la qualité de résultat du mode manuel.

À partir de là, tout a été différent.

  • Je prenais des photos bien plus rapidement,
  • Mes photos étaient bien meilleures, car elles étaient plus naturelles — surtout les portraits, les scènes de la vie de tous les jours, ou les photos que je prenais en famille.
  • J’arrivais à photographier des scènes que j’étais incapable de photographier avant — des gestes, des expressions ou des actions imprévues, par exemple,
  • Les gens admiraient les photos que je prenais et se demandaient parfois comment je faisais
  • Et surtout, ma pratique est devenue plus intuitive, plus naturelle, plus proche de qui je suis vraiment — car je passais moins de temps à m’occuper de mes réglages !

En bref, je m’éclatais de nouveau avec mon appareil photo — chose que je n’avais pas ressentie depuis longtemps.

J’étais enfin capable de capturer ce que Henri Cartier-Bresson appelle des « instants décisifs »

Grâce à ce système que je venais d’inventer, j’étais enfin capable de capturer ce que Henri Cartier-Bresson appelle des « instants décisifs », c’est-à-dire :

Des scènes, des actions ou des expressions éphémères, qui arrivent sans prévenir, disparaissent en un instant, et ne se représenteront plus jamais.

Ces instants décisifs, ce sont des sortes de moments de poésie que l’on arrache à la vie de tous les jours.

Un instant qui révèle une profondeur ou une signification particulière dans le contexte de la vie quotidienne.

Une image qui transcende la scène ordinaire, capturant l’essence ou une vérité plus profonde sur ce moment.

Quel est le secret ?

En étudiant les plus grands photographes, j’ai eu trois révélations, et ce sont elles qui m’ont guidé sur la bonne voie :

  1. Les grands photographes dansent sur le terrain et déclenchent instinctivement — pourtant leurs photos sont réussies.
  2. Les grands photographes ne modifient que rarement leurs réglages — pourtant ils sont toujours prêts à déclencher en moins de trois secondes.
  3. Les grands photographes ont confiance en eux — car ils savent transformer une difficulté en une magnifique photographie qui sort de l’ordinaire.

Ces trois révélations sont à l’origine de la méthode que j’ai mise au point, testée sur le terrain et qui a totalement transformé ma pratique et les photos que j’obtenais.

Cette méthode, je l’ai testée auprès de dizaines d’élèves sur le terrain, et à chaque fois, en quelques heures seulement, leur pratique était totalement transformée — exactement comme le fut la mienne lorsque j’ai découvert ce système incroyable.

Et aujourd’hui, cette méthode, je vais vous l’enseigner, en seulement huit jours, dans une formation en ligne intitulée Capturer l’Instant Décisif

CAPTURER L’INSTANT DÉCISIF : 8 jours pour déclencher comme Henri Cartier-Bresson

L’objectif de cette formation, c’est de vous permettre, en seulement huit jours, de déclencher en moins de trois secondes, quels que soient les sujets ou les scènes que vous vouliez photographier.

Pourquoi cet objectif est-il important ?

Parce que pour déclencher en moins de trois secondes, je vais vous enseigner :

  • Comment faire davantage confiance à votre intuition,
  • Comment être plus rapide et réactif pour déclencher,
  • Comment mieux gérer les réglages de votre appareil pour moins avoir à y penser et à y consacrer du temps,
  • Comment gérer les situations difficiles — comme les forts contrastes, auxquels nous sommes constamment confrontés sur le terrain,
  • Ou encore, comment transformer les difficultés en opportunités…

Et toutes ces transformations que vous allez vivre, elles vont avoir un impact énorme sur vous et vos photos :

Des photos plus dynamiques, plus naturelles et plus intéressantes

La première révélation (Les grands photographes dansent sur le terrain et déclenchent instinctivement — pourtant leurs photos sont réussies) m’a permis de comprendre que pour améliorer mes photos, il me fallait lâcher-prise.

Être davantage à l’écoute de mon intuition, la laisser s’exprimer librement, et globalement, aborder la photographie davantage comme un jeu.

En apprenant à déclencher en moins de trois secondes, même lorsque les conditions ne sont pas parfaites et que vous risquez de rater vos photos, un tout autre monde s’ouvrira à vous.

Joel Meyerowitz, par exemple, déclenche très souvent alors qu’il conduit sa voiture — c’est quelque chose que je fais très souvent moi aussi, et de nombreuses photos, réalisées ainsi, apparaissent aujourd’hui dans mes livres.

Une plus grande sensibilité à la beauté et à la poésie du quotidien

Lorsque vous êtes sur le terrain, quelque chose vous dit « Regarde ! Il y a un sujet, là, à photographier. ». Il ne s’agit pas d’une voix, mais d’une sensation, que j’appelle une étincelle.

Parfois, cette sensation est forte et claire — vous ne pouvez pas la louper. Mais la plupart du temps, elle est bien plus timide — presque imperceptible.

La majorité des photographes perçoivent uniquement les étincelles les plus visibles et passent à côté des plus discrètes. Ils ignorent donc d’innombrables sujets, et photographient seulement ceux que tout le monde voit.

Pour capturer les instants décisifs, je vous enseignerai à développer votre sensibilité. Grâce à cela, votre quotidien se métamorphosera — vous y trouverez davantage de sujets intéressants ; vous y prendrez davantage de photos éblouissantes.

La photo ci-dessus a été prise dans mon salon, alors que je préparais à manger. J’ai ressenti cette étincelle, et y ai répondu en déclenchant. Dans la même situation, la plupart des gens n’auraient rien vu.

Le super-pouvoir de déclencher en un éclair

J’étais assis à table, lors d’un gouter d’anniversaire, quand une petite fille grimpa sur le canapé à côté de moi pour fuir un petit garçon qui la poursuivait.

Mon appareil photo était posé sur la table. Il était éteint. Pourtant, en un éclair, je l’ai saisi, puis visé la petite fille et déclenché.

Si j’ai pu capturer cette image que j’aime beaucoup, c’est parce que le système que j’ai mis au point et que je vais vous enseigner, me permet d’être toujours prêt à déclencher.

Peu importe qu’il soit dans ma main, posé sur une table, ou sur le siège passager de ma voiture. Si mon appareil est suffisamment proche pour que je puisse l’attraper, je sais que je peux déclencher en moins de trois secondes.

Votre appareil photo va devenir une extension de votre main

Cette photo a une histoire. Lors d’un workshop, je discutais avec un élève, quand il trébucha et parti en arrière. Immédiatement, j’ai placé ma main gauche dans son dos, afin de le retenir. Mais dans la manœuvre, nous avons bousculé une jeune fille qui passait à vélo, et qui a bien failli tomber elle aussi.

Combien de temps la scène a-t-elle durée ? Un court instant. Pourtant, j’ai eu le temps de déclencher.

Sur la photo, au premier plan, c’est mon élève qu’on aperçoit. Au second plan, c’est la cycliste que l’on a bousculée.

Mon appareil est devenu une extension de ma main. Et je vais vous apprendre à vous en servir comme vous vous servez de votre main lorsque vous rattrapez un objet au vol.

Des portraits plus naturels et authentiques

Que se passe-t-il lorsqu’on vous dit qu’on va vous prendre en photo et qu’on braque un objectif dans votre direction ? Vous êtes mal à l’aise, votre sourire se crispe, vous vous demandez si votre pose est la meilleure… Et plus c’est long, plus c’est désagréable.

Un portrait, c’est une interaction entre deux personnes. Si vous êtes lent ou passez trop de temps à vous occuper de votre appareil, la communication est rompue. Votre modèle est mal à l’aise et la photo ratée. À l’inverse, si votre appareil ne s’interpose pas plus de trois secondes entre vous et votre sujet, l’échange est interessant, votre modèle est à l’aise et votre photo bien meilleure.

Le secret pour obtenir des portraits naturels, c’est d’aller vite et de ne pas se cacher derrière son appareil. Grâce aux techniques que je vais vous enseigner, vous pourrez déclencher en moins de trois secondes, sans toucher un seul réglage, ni même regarder un seul instant votre appareil. Et vos portraits seront bien plus naturels qu’avant.

Capturer des instants de vie simples, naturels, mais tellement beaux

L’autre avantage de cette rapidité, c’est qu’on ne vous remarquera pas, ou en tout cas pas avant que vous ayez déclenché — peu importe qu’on vous remarque après, puisque vous aurez déjà eu la photo que vous vouliez !

Sur la photo ci-dessous, mon fils Aksel regardait le coucher de soleil par la fenêtre. J’étais à côté de lui, j’ai pris cette photo, et comme vous le voyez, son regard et son expression ne sont absolument pas changées par ma présence.

Juste après, il s’est retourné vers moi pour me demander si j’allais le prendre en photo. Il m’a donc repéré, mais après que j’ai déclenché — j’avais déjà ma photo.

En déclenchant en moins de trois secondes, vous arriverez à photographier des expressions ou des scènes qui se seraient produites même si vous n’aviez pas été là. Des instants de vie simples, naturels, mais tellement beaux.

Des émotions qui touchent les cœurs

Un peintre, un auteur ou un musicien peut imaginer une scène, puis la représenter dans son œuvre. Idem pour les émotions — elles peuvent être créées de toutes pièces par ces artistes.

Mais nous, photographes, partons toujours du réel. Aussi, pour que vos photos transmettent des émotions, il faut commencer par capturer ces émotions.

Nous l’avons vu, en déclenchant en moins de trois secondes, vos portraits seront plus naturels et vous photographierez des scènes ou des expressions sans vous faire remarquer.

Grâce à cela, les émotions que vous capturerez seront bien plus vraies et bien plus fortes.

Et si les émotions que vous capturez sont bien plus vraies et bien plus fortes, vos photos aussi, seront bien plus vraies et bien plus fortes.

Elles provoqueront des émotions, et toucheront le cœur de ceux qui les découvrent.

Grâce à cette formation, la vie (re)deviendra votre terrain de jeu favori, et la photographie, un moyen de la vivre intensément.

Des instants décisifs, il y en a partout : en famille, en voyage, avec des amis, dans la rue, en reportage, à la maison, dans la campagne, quand vous jouez avec des enfants, quand vous travaillez, quand vous participez à des évènements ou des activités…

En bref, lorsque vous vivez.

Capable de déclencher en moins de trois secondes, débarrassé de nombreux freins et contraintes techniques, vous allez enfin retrouver l’envie d’explorer, de jouer, d’expérimenter et de prendre des photos à la moindre occasion qui se présente.

La méthode que je vais vous enseigner dans cette formation a été testée auprès de nombreuses personnes — et elle fonctionne.

Simple, intuitive et personnelle, elle transformera vos photos, et vous redonnera l’envie d’explorer le monde — de le vivre intensément.

Cette nouvelle formation en ligne, Capturer l’Instant Décisif, ouvrira ses portes ce soir à 17 h.

Vous pourrez ainsi, dès ce week-end, commencer votre progression et chasser vos premiers instants décisifs.

Je vous enverrai un e-mail pour vous prévenir de l’ouverture des inscriptions (si vous n’êtes pas abonné à la newsletter, inscrivez-vous ici).

Une dernière chose : comme il s’agit d’une toute nouvelle formation, elle sera accessible à moitié prix — mais seulement pendant cinq jours.

En vous inscrivant avant mercredi 7 février à minuit, vous bénéficierez de 50 % de réduction sur le prix de la formation.

Ne ratez pas l’e-mail de ce soir et inscrivez-vous rapidement.

Vous êtes motivé et voulez réussir ?

Recevez régulièrement dans votre boite mail des conseils, des idées et des réflexions pour améliorer vos photos, devenir de meilleurs créatifs, vous épanouir dans votre pratique, vivre de votre passion et profiter d’une vie meilleure.

En vous inscrivant, vous recevrez ma newsletter (Summum Humanum), ainsi qu’un accès à ma communauté privée (Un Coin À Nous). Les deux sont gratuits. Votre adresse email est en sécurité et vous pouvez vous désinscrire en un clic.