Pétanque improvisée
Hier, avec Aksel, mon fils, nous attendions sur un parking. Pour tuer le temps, nous avons improvisé un jeu de pétanque : un pissenlit nous servait de cochonnet, et pour les boules, nous utilisions des cailloux. Celui dont la pierre s’arrêtait le plus près du pissenlit remportait la partie. Aksel a l’esprit de compétition — c’est une bonne chose —, mais n’aime pas perdre — il apprendra. Alors, à chaque partie que je gagnais, il tentait de trouver un meilleur caillou. Premier tir, trop long. « Je change de pierre ! ». Il en choisit une plus grosse. Deuxième tir, trop court — la pierre