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Photographie de rue : comment devenir un magicien qui peut devenir invisible, et un illusionniste capable de leurrer ses sujets

Ces derniers jours, nous avons discuté de photographie de rue, et plus précisément des problèmes et des blocages que vous rencontriez au moment de photographier des inconnus dans la rue. Aujourd’hui, nous allons continuer d’approfondir le sujet en nous interessant au mode spectateur, c’est-à-dire à l’attitude à adopter lorsque vous photographiez des inconnus sans qu’ils ne vous remarquent — ou en tout cas, pas avant que vous ayez déclenché.

Nous l’avons dit, ce qui bloque la plupart d’entre vous, ce qui vous empêche d’aller vers les autres et de les photographier, c’est avant tout la peur et la timidité. Si c’est ce qui vous bloque, ne croyez pas être une exception, bien au contraire. Nous sommes tous comme ça, nous sommes tous plus ou moins timides, et avons tous plus ou moins d’appréhension à photographier ou aborder des inconnus. Mais c’est dommage, car photographier des gens dans la rue est une activité passionnante, qui vous permettra de réaliser de superbes images, et que d’ailleurs énormément de grands photographes pratiquent ou ont pratiqué :

Joel Meyerowitz,

Saul Leiter,

Vivian Maier,

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On pense aussi à Henri Cartier-Bresson, Sabine Weiss, Robert Frank, Robert Doisneau, Daido Moriyama, Raymond Depardon… La liste pourrait être sans fin tellement il y en a. Enormément de grands photographes, peut-être même tous, ont un jour ou l’autre photographié des inconnus dans la rue, à la sauvette, et ont publié les photos ainsi prises dans des livres.

Dans une interview, Sabine Weiss expliquait qu’elle avait fait énormément de reportages dans sa vie, mais que finalement, ses meilleures photos étaient celles qu’elle avait prises à la sauvette, lors de rencontres impromptues dans la rue : « Je suis allée dans des morgues, dans des usines, j’ai photographié des gens riches, j’ai fait des photos de mode… Mais ce qui reste, ce sont uniquement des photos que j’ai prises pour moi, à la sauvette. »

La photographie de tous les jours, celle que l’on pratique au quotidien, souvent dans la rue mais pas exclusivement, est une pratique passionnante. Il faut dire qu’en plus d’être l’occasion de réaliser de superbes images comme celles que je viens de vous montrer, cette pratique vous permettra :

  • D’avoir des sujets à votre disposition partout où vous allez, même si ce n’est qu’en bas de chez vous ;
  • De faire de belles rencontres et de vivre une vie interessante ;
  • De vous améliorer, en affrontant vos peurs, en sortant de votre zone de confort, en surmontant votre timidité, et en développant votre empathie ;
  • De vous fournir une bonne source de motivation pour sortir prendre des photos ;
  • De développer des compétences qui vous seront ensuite utiles au quotidien. La rue est une très bonne école, car il faut être rapide, toujours prêt, et savoir vous adapter rapidement aux conditions changeantes. Ce que cette pratique vous apprendra, vous pourrez l’utiliser dans de nombreuses circonstances : lorsque vous photographiez vos enfants ou petits enfants, lors d’activités sportives, de spectacles, d’évènements, lorsque vous partagez un bon moment avec des amis ou la famille, en voyage, en reportage…

Je photographie des inconnus depuis longtemps et j’y prends toujours autant de plaisir, car aucune sortie ne ressemble à la précédente. Il y a toujours quelque chose de nouveau ou d’interessant à découvrir chez les personnes que l’on croise, même si l’on arpente toujours le même quartier.

Saul Leiter, un photographe dont je vous parle fréquemment, a passé toute sa vie à prendre des photos dans le même quartier de New York. S’il a pu créer autant de magnifiques images sans changer d’endroit, c’est parce qu’il ne photographiait pas le quartier lui-même. Il photographiait la vie du quartier, c’est-à-dire les gens qui s’y promènent, qui y travaillent ou qui y vivent. Et cette vie n’est pas figée ; c’est un éternel changement, un éternel renouvellement.

Si j’aime enseigner cette photographie-là, c’est parce qu’elle peut totalement transformer votre pratique et votre approche de la photographie — pour le meilleur.

Je le constate d’ailleurs régulièrement chez bon nombre de mes élèves. Quelque temps après avoir participé à l’un de mes workshops, Colette me disait : « Je pratique la photo de tous les jours depuis plusieurs mois. Enrouler la courroie de mon appareil photo et l’allumer est devenu le rituel qui me conditionne… À partir de là, mon œil et mon cerveau sont en alerte : je ne regarde plus, je vois… Je deviens présente au monde qui m’entoure, que je sois dans mon environnement familier, ou pas. En outre, je fonctionne beaucoup à l’instinct, et ce sont généralement ces photos qui me touchent, certaines continuant d’ailleurs à m’émouvoir. Ce que j’aime vraiment dans cette pratique, c’est que je ne sais jamais ce que je vais ramener comme photo, même dans mon environnement familier. Chaque sortie est donc une aventure, avec plus ou moins d’émotions, provoquées par ces photos à l’instinct. Ma vie est bien riche… Merci Nicolas. »

Ou un autre exemple avec Joel : « J’ai eu la chance de participer ce week-end au workshop de Bordeaux. Ces deux jours ont été particulièrement riches et instructifs. Je souhaitais faire un retour sur ce moment juste incroyable qui m’a permis d’apprendre énormément. Nicolas est un formateur hors pair, disponible et très attentif à l’ensemble des participants. Dire que j’ai adoré serait un euphémisme. Je conseille largement à tous de s’inscrire sans hésiter. Ma pratique de la photo va évoluer à coup sûr. J’ai appris à ouvrir les yeux sur des choses que je ne voyais pas ou qui me paraissaient insignifiantes et au final avec un potentiel fou. J’ai hâte de retourner sur le terrain pour prendre des milliers de photos et continuer à apprendre ! Merci infiniment. Je suis encore sur mon nuage ! »

Mais, revenons à la question qui nous intéresse aujourd’hui : comment devenir un magicien de la rue, capable d’être invisible lorsqu’il photographie des inconnus à la sauvette, et un habile illusionniste, qui donne l’impression à ses sujets que ce n’est pas eux qu’il photographie, mais quelque chose d’autre qui se trouve derrière eux par exemple.

Le magicien : comment devenir invisible dans la rue

Devenir invisible, cela commence à la maison. Si vous voulez être discret, il vaut mieux vous habiller de manière discrète, avec des habits classiques et des couleurs neutres. Le plus important, c’est d’être dans le style de l’endroit où vous comptez prendre des photos. Si vous êtes en costume à la plage, on vous remarquera. Idem si vous vous baladez en maillot de bain dans un quartier d’affaires, si vous arrivez en couleurs flashy à un enterrement, ou pire, si vous portez un maillot du PSG dans les tribunes de l’OM. Il ne faut pas dénoter, mais au contraire, tout faire pour paraitre le plus « normal » possible. Si vous êtes habillé comme la plupart des gens, vous serez plus discret.

Pour que vous soyez invisible, il faut que votre matériel, lui aussi, soit invisible. Désactivez toutes les alarmes, les « bips » et les différents sons que pourrait émettre votre appareil photo. Au jeu de la discrétion, les hybrides et les compacts sont bien meilleurs que les appareils photo reflex. Ils sont souvent plus petits, mais surtout, les appareils reflex fonctionnent grâce à un miroir qui bascule et qui fait du bruit à chaque déclenchement. Dans un environnement silencieux, ça peut être un handicap. Donc, si vous avez plusieurs appareils ou prévoyez d’en changer, préférez un appareil léger et discret.

Concernant le maniement de votre matériel, je sais que vous êtes fier de votre appareil, que vous aimez le montrer, mais pour être discret, mieux vaut le cacher au contraire. Lorsque vous marchez dans la rue, tenez-le à la main (en prenant soin d’enrouler la courroie autour de votre poignet, pour éviter qu’il ne tombe ou qu’on vous l’arrache des mains) et le bras tendu vers le bas. Lorsqu’une personne vous croise, ce qu’elle regarde en premier, c’est votre visage et votre buste. En tenant votre appareil assez bas le long de votre corps, elle ne le remarquera pas. Vous serez bien plus discret ainsi, qu’en portant votre appareil autour du cou par exemple.

Enfin, au moment de passer à l’action, évitez de garder l’œil rivé dans le viseur pendant trois minutes — là encore, on vous remarquera. Imaginons que vous souhaitiez photographier une personne assise sur un banc. Vous devez vous rapprocher d’elle sans montrer votre appareil, en le tenant comme décrit précédemment le long du corps. Rapprochez-vous jusqu’à être à la distance qui vous semble idéale pour réaliser le cliché que vous avez en tête, et à ce moment-là seulement, montez votre appareil au niveau de votre visage, visez puis déclenchez — de préférence, en moins de trois secondes.

Vos mouvements sont également importants. Vos gestes et déplacements doivent être dans le rythme de l’endroit où vous vous trouvez, sinon on vous remarquera. Chaque endroit à un rythme, les gens s’y déplacent à une certaine vitesse. Pour être discret, vous devez aller à la même vitesse qu’eux, voire légèrement moins vite. Si vous courez sur une plage alors que tout le monde est étalé sur sa serviette, on vous remarquera. À l’inverse, si vous vous posez tranquillement au milieu d’un couloir du métro parisien à l’heure de pointe, on vous remarquera aussi, car vous générez le flux de circulation.

Une autre méthode efficace consiste à s’arrêter en se tenant un peu à l’écart du flux de circulation : appuyé contre un mur, à l’angle d’une rue, sur le palier d’une porte, appuyé à un réverbère, voire même, comme Simon nous l’a suggéré sur Un Coin À Nous, assis par terre. Nos yeux détectent facilement les mouvements. Si vous ne bougez pas, vous serez plus discret, surtout si vous êtes caché derrière quelque chose — un peu comme un photographe animalier qui se met à l’affût. Attention tout de même à rester naturel : si vous donnez l’impression de vous cacher, votre comportement deviendra suspect.

L’illusionniste : créer l’illusion que vous photographiez autre chose que votre sujet

Vos yeux ont un immense pouvoir et vous devez absolument en prendre conscience. Incontrôlé, ce pouvoir vous compliquera la tâche, alors que bien contrôlé, il sera d’une grande aide.

L’iris de nos yeux est entouré de blanc, et cela nous permet de déterminer la direction du regard d’une personne — si notre œil était d’une couleur unie, ce serait impossible. Cette capacité à deviner dans quelle direction une personne regarde est innée. Nous n’en avons pas conscience, pourtant elle nous influence à longueur de temps.

Imaginez que vous discutiez avec trois personnes. Si, subitement, leurs regards se dirigent vers la droite, vous ne pourrez faire autrement que regarder vers la droite vous aussi. C’est un réflexe de survie inscrit dans nos gènes : si tout le monde regarde dans une direction, il vaut mieux que je regarde moi aussi dans cette direction, au cas où il s’agisse d’un danger.

Cette habileté à déterminer la direction d’un regard est assez stupéfiante, surtout dans sa précision. Même si vous êtes à plusieurs mètres de moi, je suis capable de savoir si vous me regardez droit dans les yeux, ou si vous regardez juste à côté. Vous pouvez le constater en réalisant l’expérience suivante avec un proche : regardez-le dans les yeux et demandez-lui si vous le regardez droit dans les yeux, il vous répondra que oui. Regardez maintenant son épaule et posez-lui la même question, il vous répondra que non. Pourtant, entre les deux, votre regard n’a dévié que d’une dizaine de centimètres, mais votre interlocuteur est capable de faire la différence sans aucun problème.

Par conséquent, lorsque vous voulez photographier une personne sans qu’elle ne s’en aperçoive, il vous faut être extrêmement attentif à vos yeux, et éviter à tout prix de croiser son regard. L’idée, c’est de faire comme si vous regardiez quelque chose qui se trouve derrière ou juste à côté de cette personne.

Même si vous ne regardez pas directement votre sujet, il se trouve dans votre champ de vision. Vous pouvez l’observer, vous rapprocher de lui, attendre le bon moment, sans jamais le regarder directement. Et ce n’est qu’au moment de déclencher que vous dirigerez votre regard dans sa direction, un bref instant, avant de regarder ailleurs et de reprendre votre chemin, comme si de rien n’était.

Si, à plusieurs mètres de distance, vous commencez à fixer des yeux une personne qui se rapproche de vous, elle saura que vous la regardez et vous fixera elle aussi, en se demandant : « que me veut-il celui-là ? »

Et c’est pareil juste après le déclenchement : si vous fixez des yeux la personne que vous venez de photographier, ou si vous vous retournez pour voir si elle vous a remarqué et croisez son regard, alors elle comprendra que c’est elle que vous venez de photographier.

Quand je photographie des couples que je croise dans la rue, j’entends souvent dans mon dos l’une des personnes dire à l’autre en rigolant : « J’ai vraiment cru que c’était nous qu’il photographiait ! ». Bien sûr que c’était eux que je photographiais ! Mais après le déclenchement, je fais semblant de continuer à photographier quelque chose d’autre, et ne me retourne surtout pas. Voici comment cela se passe :

  • Je repère un sujet intéressant
  • Je détourne mon regard, mais le garde dans mon champ de vision
  • J’évalue la distance à laquelle je souhaite déclencher. Par exemple, si je veux un portrait serré, je sais qu’il faut que je déclenche quand je suis à environ un mètre de son visage.
  • Je me rapproche en évitant toujours les regards directs
  • Au moment où je suis à la bonne distance, je monte mon appareil au niveau de mon visage, je vise, puis déclenche — moins de deux secondes, ça va très vite.
  • Quand ma photo est prise, je ne redescends pas mon appareil photo, je continue à faire comme si je photographiais autre chose.
  • Je ne me retourne surtout pas, et continue mon chemin, comme si de rien n’était.

C’est un peu comme si je « traversais » les gens que je photographie. Que je passe à travers eux, comme s’ils n’existaient pas ! Je peux frôler un passant, le prendre en photo à moins de 50 centimètres de son visage, sans qu’il sache que c’est lui que j’ai photographié.

C’est un jeu amusant, mais très difficile à expliquer par écrit. Comme tout ce qui concerne l’attitude, le langage corporel et le comportement que vous devez adopter sur le terrain, il est beaucoup plus facile de comprendre ce que vous devez faire en regardant quelqu’un le faire devant vos yeux sur le terrain, plutôt qu’en lisant un article comme celui-ci.

C’est d’ailleurs pour cela que j’organise des workshops. Avec moi, sur le terrain, il ne vous faudra que quelques minutes pour saisir ce qu’il faut faire, vous lancer et réussir vos premières images.

D’ailleurs, « traverser les gens » n’est pas mon seul tour de magie, il y en a beaucoup d’autres que je pourrai vous apprendre :

  • comment devenir invisible ;
  • comment téléguider les gens pour qu’ils se placent à l’endroit où vous souhaitez les prendre en photo ;
  • comment photographier ceux qui sont hypnotisés et qui ne remarqueront pas votre présence même si vous êtes à deux mètres d’eux ;
  • comment entrer dans la « zone de sécurité » d’un inconnu, cet espace d’environ une longueur de bras qui se trouve tout autour de nous et dans lequel nous n’aimons pas que l’on pénètre.

L’avantage des workshops, c’est aussi que je pourrai immédiatement détecter vos points faibles, vos défauts et les erreurs que vous faites, et vous guider pour les corriger aussitôt.

Par exemple, le défaut le plus courant des débutants, c’est de se retourner après avoir pris quelqu’un en photo. En tant qu’observateur extérieur, je le remarque immédiatement et peux vous guider pour corriger le problème.

Un autre défaut courant, c’est de marcher trop vite. Lorsqu’on est stressé ou mal à l’aise dans la rue, on accélère sans même s’en apercevoir, et l’on ne voit plus rien. L’attitude générale d’un photographe est également cruciale.

Certains ne s’en aperçoivent pas, mais ils s’approchent trop rapidement, trop brusquement, intimident ou effrayent les passants. Si vous avez du mal à aller vers les autres, si les gens vous remarquent, s’ils refusent que vous les preniez en photo quand vous leur demandez, s’ils vous ennuient lorsqu’ils voient que vous les avez photographiés, le problème ne vient pas d’eux, mais de vous. Vous faites des erreurs, probablement inconscientes.

Dans la rue, tout se joue dans l’attitude, dans l’approche, au niveau de la communication non verbale. Seul, il est très difficile de s’en apercevoir. Mais ensemble, on pourra corriger cela rapidement.

Cette année, j’organise quatre workshops dédiés à la photographie de rue / photographie de tous les jours :

Quelle que soit la ville choisie, nous travaillerons avec un groupe restreint d’élèves (huit au maximum, donc attention si vous voulez vous inscrire : les places étant limitées, mieux vaut ne pas trainer), pour que je puisse m’occuper personnellement de vous.

C’est le gros avantage des workshops : je réponds à vos questions, observe vos défauts, vous guide et vous propose des exercices ou des solutions adaptées à vos besoins. C’est l’une des choses appréciées par les élèves que j’accompagne :

« Workshop très intéressant. Le format petit groupe permet de pouvoir poser toutes les questions que l’on veut et Nicolas peut y répondre. Le Workshop m’a permis de découvrir une photographie inhabituelle, la photo de rue et de l’humain. C’est très enrichissant. » — Brigitte

« Le format et le nombre de participants étaient très motivants. Nicolas nous permet d’aborder la photo simplement. Un parfait moment pour se libérer de blocages. L’humain comme sujet était difficile. Il faut oser et ouvrir l’œil, mais beaucoup de trucs, d’astuces et de partages pour réussir. Merci à Nicolas et aux photographes rencontrés. » — Stéphanie

« Le workshop m’a beaucoup aidé par l’apprentissage de techniques simples et efficaces… Cela m’a permis d’oser ! Je n’étais pas aussi franc avant cela, car un peu timide malgré tout et peur des réactions des gens… Comme quoi une bonne formation peut être très utile. Merci Nicolas ! je vous conseille donc de participer à un workshop, et ainsi dépasser vos craintes. » — Bernard

Un workshops, ce sont des conseils personnalisés, mais c’est aussi et avant tout un moment agréable et une expérience inoubliable. Des échanges et des rencontres avec d’autres passionnés de votre région, et surtout, le meilleur moyen de révéler le photographe qui sommeille en vous.

Pour me rejoindre sur le terrain, toutes les informations pratiques sont à votre disposition sur les fiches de présentation de chaque date, accessibles en suivant les liens suivants :

C’est aussi via ces liens que vous pourrez vous inscrire.

Comme les inscriptions de la saison 2023 viennent d’ouvrir, je vous propose, pendant quelques jours seulement, une réduction spéciale :

En vous inscrivant avant le 9 février à midi, vous bénéficiez d’une réduction de près de 50 %.

Ne vous attendez pas aux tarifs que pratiquent certains photographes, à mille ou parfois deux-mille euros l’inscription. En vous inscrivant avant le 9 février, le workshop ne vous coutera pas beaucoup plus cher qu’une formation en ligne : 399 € seulement. Et vous apprendrez beaucoup plus en deux jours sur le terrain, qu’en participant à une formation en ligne, vous pouvez en être certain.

(Si ça vous arrange, sachez que vous pouvez régler votre inscription en quatre fois.)

J’espère avoir la chance de vous rencontrer et de passer un week-end passionnant et enrichissant avec vous, échanger autour de notre passion commune, prendre des photos et partager quelques cafés et quelques repas.

(Workshop Lyon, octobre 2020)

Je vous redonne les liens :

Et vous dit à très bientôt sur le terrain 🙂


Chaque année, j’ai la chance de partager de super moments avec mes élèves et, le temps d’un workshops, de les accompagner pour qu’ils progressent, découvrent une nouvelle facette de la photographie et dépassent leurs peurs et leur limites. Voici ce qu’ils retiennent de cette expérience :

« Ce n’était pas mon premier workshop photographique, mais c’est à ce jour celui qui m’a fait réellement avancer dans ma pratique photographique. Je m’étais déjà essayé en autodidacte à la photo de rue, sans avoir jamais pu réellement me confronter à la photo de l’Autre. Ce stage m’a permis de franchir le pas. » — Jean-Charles

« Très bien. Nicolas a développé la théorie avant de la mettre en pratique en conditions réelles dans la rue. Ce que j’ai le plus aimé, c’est l’application pratique. Nicolas m’a levé des doutes sur les droits à l’image et m’a permis de me libérer de cette contrainte. Après le workshop, je suis retourné dans la rue et j’ai appliqué ses conseils sans plus aucune appréhension et avec un nouvel œil à l’affût des opportunités photographiques du quotidien. » — Stéphane

« Tout m’a plu et particulièrement cette alternance entre théorie et pratique, ces exercices ciblés pour illustrer le propos, courts pour permettre un plus large éventail de pratiques différentes. Nicolas, tu as été très accessible et disponible aussi pour chacun quelle que soit la difficulté rencontrée. Le rythme m’a bien convenu. Ni marathon, ni flânerie et même nos pauses étaient nourries de ton expérience et de nos partages. Le souci quand ça fonctionne bien, c’est que ça parait toujours trop court. Franchement, ce fut parfait à tous points de vue pour moi. Ce que j’ai appris pendant ce workshop ? Meilleure connaissance de mon appareil photo et amélioration de ma confiance à aller vers l’autre que ce soit comme photographe “spectateur” ou “acteur”. L’impression d’être un enfant qui découvre un nouveau jeu et s’émerveille de toutes ses possibilités. Sur le plan plus théorique, petite piqure de rappel quant aux notions d’exposition (top le conseil sur le verrouillage d’exposition), d’histogramme et les tips pour obtenir une photo intéressante (profondeur, abstraction, humain) » — Véronique

« Une journée étonnante, inattendue, efficace et enthousiasmante. Ce workshop m’a permis ce démystifier la photo de rue, de découvrir des techniques plus simples, de retrouver le goût des photos de rue. » — Thierry-Gabriel

« Workshop très instructif, libérateur. Ce que j’ai le plus aimé, c’est le lâcher prise, le partage de connaissances, d’expériences, la convivialité, le détachement de la technique. Ce fut un workshop agréable et très instructif. » — Valérie

Rejoignez-nous sans tarder : les workshops de Nicolas Croce

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